We use cookies to help you navigate efficiently and perform certain functions. You will find detailed information about all cookies under each consent category below.
The cookies that are categorized as "Necessary" are stored on your browser as they are essential for enabling the basic functionalities of the site. ...
Necessary cookies are required to enable the basic features of this site, such as providing secure log-in or adjusting your consent preferences. These cookies do not store any personally identifiable data.
Advertisement cookies are used to provide visitors with customized advertisements based on the pages you visited previously and to analyze the effectiveness of the ad campaigns.
Dans la troisième et dernière partie de la trilogie environnementale, nous présentons un univers dystopique qui n’est pas très éloigné en termes d’air respirable.
Les niveaux de pollution sont si élevés que la qualité de l’air que nous respirons est minimale, en particulier dans les villes. Ce problème nous affecte à tous les niveaux de la société : nos relations, notre mode de vie, notre travail, nos sentiments… car nous avons de plus en plus de mal à respirer l’air qui nous entoure.
L’œuvre commence par quatre représentations simultanées, où chacun des personnages soulève le problème de l’irrespirabilité de différentes manières. Au fur et à mesure que le spectacle et les personnages évoluent, on se rend compte qu’il s’agit d’une macro-campagne publicitaire pour vendre Biohabitat : un habitat 100% respirable qui est la solution à tous nos problèmes.
Cette comédie gestuelle avec texte qui combine performance, danse, pantomime, musique originale… vise à faire réfléchir le spectateur, non seulement sur l’environnement, mais aussi sur notre condition humaine et notre mode de vie.
Avec une esthétique soignée et un langage direct, Biohabitat est un spectacle accessible, familier et drôle.
© Escandall Teatral. 2021
Notifications